Devenez millionnaire en faisant la planche

Comment devenir riche en Australie ?

Importer du camembert ? Y en a déjà (pas au lait cru c’est vrai mais c’est interdit). J’avais aussi pensé aux distributeurs automatiques de films : curieusement, ça existe pas au camp des rats (j’ai écrit à Paris pour leur dire, ils m’ont jamais répondu).

Nan, ce qui paye vraiment c’est l’innovation, l’audace, le risque. Pas besoin de business plan, pas d’investissement, pas de qualification requise.

Pour palper 1,1 millions de dollars en seulement 19 heures (soit 53000 dollars de l’heure), suffit de faire la planche.

Un couple est parti plonger en excursion dans le Queensland, s’est fait oublier, puis secourir. Un journal leur achète leur histoire et le tour est joué.

Le business est risqué car ceux qui avaient déjà tenté le coup n’ont jamais été retrouvés (enfin d’après le film « open water » inspiré de leur histoire). Des gens mal organisés sans doute car avec un minimum de préparation on peut passer les 19 heures sans problème (un minimum de bouffe, une bouée gonflable qu’on s’empressera de couler à l’arrivée des secours, un complice à terre prêt à alerter les secours). Et puis si vous faites ça en méditerranée y a pas de risque de requins (et c’est plus chaud que l’océan, allez pas attraper un rhume quand même). En plus je pense pas que, comme ici, on vous demande de contribuer aux frais de recherche (quels rabat-joie ces Australiens !).

Et pourquoi pas faire coup double en poursuivant la société de plongée pour négligence ? Et pourquoi faire coup triple en publiant ensuite : « faire la planche pour les nuls » ?

Mes progrès au boulot

J’avais mauvaise conscience de lui casser du sucre sur le dos mais ça se confirme : ma chef est vraiment pénible avec ses corrections de documents à deux balles. Résultat : au lieu de faire le boulot, on change les virgules (elle peut pas pinailler sur les accents, y en a pas).

Mon niveau d’anglais s’améliore et curieusement parler en anglais me désinhibe (j’ai remarqué ça pour les entretiens d’embauche aussi). Par exemple, après la traditionnelle auto-évaluation vient normalement l’évaluation faite par le chef. Pas pour moi : mécontent de ses commentaires, sans faire les détours linguistiques de circonstance j’ai dit : « this report is not good ». Sans doute peu habitué à des revendications exprimées si crûment il (mon chef +2) s’est exécuté en finissant presque par écrire sous ma dictée … Non mais !

J’ai aussi passé ma première UV de pipeau en anglais. Maintenant j’arrive à parler de sujets que je connais pas et à répondre à une question gênante par une autre question (quand ça marche comme ce matin, le résultat est d’une efficacité redoutable).

Merci patron

L’arnaque : le ticket de ciné coûte 15 dollars ici (quand je pense que je payais 18 euros mon abonnement UGC !).

Bien sûr, Lepénible n’a jamais (je dis bien jamais) payé ce prix là. Il achète les billets au tarif entreprise pour seulement 10 dollars.

Mais ce soir c’était encore mieux : le patron de Max nous a filé des invitations (sponsorisé par une marque de lunettes).

Le film ? Indiana Jones. Bof, content de pas avoir payé pour aller voir ça.

Tout s’arrange ou presque

Suite de mon message de vendredi, dans le désordre.

Le visa pour commencer. Evidement silence radio de la part des services d’immigration. Je les rappelle aujourd’hui pour entendre une nouvelle version : nos visas expirent la semaine prochaine mais tout est normal : on bascule automatiquement sur un visa temporaire. Pas d’inquiétude.

Ah bon ? Ben pourquoi on m’a pas dit ça la semaine dernière ? J’imagine qu’en cas de problème on me dira « Quoi ? Un visa temporaire ? Mais ça existe pas ! Qui vous a dit ça ? ».

Les clés. Après avoir envoyé une collègue vérifier le garage à vélo du boulot samedi soir (j’y ai pas accès le weekend) et fait un jogging à la recherche des clés (grosse excuse pour faire du sport) j’ai eu un éclair de génie dans mon lit dimanche matin.

Tout était allé trop vite vendredi soir quand j’ai perdu mes clés, l’impression que quelque chose d’anormal s’était produit (à la limite du surnaturel comme vous allez le voir). Hier matin j’ai alors compris que j’avais pas pu ouvrir mon cadenas de vélo sans la clé, et que donc elle était là, quelque part (un jour et demi pour arriver à cette brillante conclusion, bravo Sherlock). Finalement les clés étaient logées dans un endroit hors de portée pour le commun des mortels (donc pas pour moi malheureusement).

Pour la fuite. Ma chère ex-voisine a été grossièrement imprécise et inutilement alarmante. Au lieu de me dire « y a une fuite dans votre salle de bain mais on peut pas rentrer chez vous », elle aurait dû dire « y a une fuite sur la façade extérieure de l’immeuble au niveau de votre salle de bain, ça fait des mois que ça dure, on appelle le syndic ».

Du coup j’espère avoir rien à voir dans tout ça et puis ma nouvelle cousine sur place s’occupe de tout …

Le syndrome de Tchernobyl

M me faisait remarquer que mes pronostics immobiliers sont peu crédibles car je prédis la baisse depuis 3 ans alors que ça n’a fait que monter depuis. J’en suis presque inhibé.

Juste une dernière fois quand même : ça va encore baisser.

Tout le monde le dit sauf les professionnels du secteur (pourquoi donc ?) pour qui la France est immunisée contre la baisse (comme le nuage radioactif il y a 22 ans qui devait s’arrêter à la frontière). Après les Etats-Unis, le Royaume Uni, l’Irlande, l’Espagne ce fut pourtant la Province, puis la banlieue parisienne. Voilà maintenant que certains arrondissements de Paris baissent aussi. Parait que les quartiers les plus chers baissent en dernier car les grosses transactions, moins sensibles à la conjoncture, y maintiennent des prix élevés.

Les conditions de crédit, l’inflation ou les anticipations désormais baissières devraient entretenir la baisse.

Aujourd’hui ce sont les agents immobiliers qui sont de moins en moins crédibles (n’est ce pas M ?).

Emmerdes en vue

J’ai retrouvé le moral depuis mercredi (principalement en trouvant de bonnes raisons pour pas faire le boulot méga chiant qu’on m’a demandé) mais voilà des emmerdes à l’horizon.

D’abord à cause d’une fuite d’eau apparemment dans la salle de bain. Le problème c’est que ça se passe dans la salle de bain à Paris. Notre ancienne voisine m’a prévenu ce matin. Je sens que ça va être simple de gérer ça avec l’assurance à 17000 km de là.

Le deuxième souci (pas encore un problème) concerne nos visas. 5 semaines qu’on attend. Après ce qui s’est passé l’année dernière je sais qu’ils sont capables de tout.

Pour le moment ma nomination a été acceptée (mon sponsor peut me sponsoriser). Reste à tamponner le passeport. Le mec aujourd’hui au téléphone me dit que c’est « hors de sa compétence » et qu’ils me tiendront au courant en début de semaine prochaine. Il est temps car nos visas expirent dans deux semaines (encore largement le temps de faire nos valises).

Pour finir cette belle journée j’ai perdu mes clés. J’espère que c’est au même endroit que là où j’ai perdu mon gant y a 10 jours parce que je saurai où chercher. J’espère surtout ne pas être atteint du syndrome de Valleton (qui fait qu’on perd en moyenne un objet par jour).

Homophobie

A l’heure où l’état d’ACT (le nôtre) reconnaît l’union civil entre deux partenaires de même sexe (il était temps), voilà sur quoi je tombe dans le Chronicle :

Le dernière phrase tue : « ça ridiculise le mariage entre un homme et une femme et valide des relations qui sont par définition contre-nature ».

Ce qui me choque c’est moins les propos homophobes que le fait que le journal les publie (venant de mon journal favori ça me fend le coeur).

Par chance j’ai rarement été victime de propos homophobes. Une fois au Forum des Halles avec Max, un mec nous interpelle : « alors les filles, on se promène ? ». Moi, long à détente, je regarde les filles qui marchent à côté de nous, qui ne réagissent pas. Et là l’horreur ! Je me rends compte que les filles c’est nous (la faute à Max car moi je suis insoupçonnable) ! Après ça Max n’a plus voulu passer par là pendant un moment.

Moi je dis qu'un coup de fil anonyme à 4 heures du mat, ça lui apprendrait à vivre à ce sal con de Salkin (faut pas le faire, c’est mal, mais pour info on a 8 heures d’avance sur la France en cette saison).

Vivement demain

C’est pas la joie aujourd’hui. Les journées se suivent et se ressemblent trop. Il fait froid. On s’emmerde. Le boulot me gonfle. Je perds me cheveux. J’ai l’impression qu’un mec qui avait postulé sur le même poste que moi me fait la gueule. J’ai mangé des cookies pour aggraver le tout. J’ai même pas le cœur à rire de la baisse de l’immobilier.

Envie de partir ce weekend mais où ?

Promotion

Ben ils sont longs a la détente : un an pour comprendre qu’il fallait me donner une promotion. Me voilà donc propulsé « Executive Level 1 ».

Je remplace pas ma future ex-chef (donc pas de rapport avec ma note de samedi). C’est juste temporaire (quelques mois) et pour commencer début juillet. Le chef est super sympa et le boulot intéressant : tableaux entrées sorties utilisés pour le système d’échange des émissions de carbone (enfin moi ça m’intéresse).

Enfin chez elle

L’autre bonne nouvelle c’est que ma mère vient enfin d’emménager ce week-end (alors que les travaux devaient être terminés début décembre …)

Ces rocambolesques mésaventures me font dire que les artisans sont à l’origine de nombreux suicides chez les propriétaires.

Vas construire ta maison à Yass

Si la hausse de l’immobilier était absurde en France, elle est carrément grotesque en Australie et particulièrement à Canberra.

Par exemple notre maison (moche, dans une banlieue moche, loin du « centre », composée de notre trois pièces, d’un studio voisin et d’un jardin) coûterait plus de 300,000 dollars … Rien que ça.

Les terrains sont hors de prix alors qu’il y a de la place : 3 habitants/km2 en moyenne en Australie contre 94 en France (quoi on peut pas comparer ?).

Alors pourquoi les terrains sont si chers ?

Parce que le gouvernement ne les rend pas constructibles. Soit disant pour lutter contre l’étalement urbain (s’il y a une réelle volonté politique dans ce domaine, c’est un échec total). Autre raison avancée : les infrastructures coûtent cher. Ben tiens, la bonne blague. Y aurait pas plutôt des intérêts pour maintenir les prix élevés (je mène actuellement une enquête sur les opérations secrètes de la FNAIM à l’étranger).

Résultat les O’Conner (voir article) vont se taper tous les jours 120 km aller-retour Canberra Yass (l’argument du prix de l’essence me semble pas trop cohérent dans leur démarche mais bon …). Ils sont pas les seuls : la ville en pleine boum (500000 rats devraient vivre ici en 2020 selon les prévisions) manque de main d’œuvre en partie à cause des problèmes de logement.

Pour calmer le jeu ils viennent de libérer 15000 parcelles (grâce à l’action de l'Organisation Contre le Domicile Exorbitant, célèbre organisation internationale établie à Canberra depuis mai 2007).

Vas jouer du pipeau en Tasmanie

Ma nouvelle future ex-pipeautause en chef se casse.

Pourtant, depuis notre discussion en mars dernier tout allait pour le mieux entre nous : elle est à l’écoute, plus du tout intrusive, constructive, ouverte à toutes les propositions. Le rêve.

Sauf que son mari a décroché un nouveau job en Tasmanie (leur île d’origine à tous les deux) et leur plan était d’y retourner dès qu’un des deux y trouverait un boulot.

Là où l’histoire se corse c’est qu’elle a entrepris d’emporter son poste avec elle. Je vois d'ici ses arguments : aujourd’hui les distances n’existent plus, on fait des télé-réunions, on cause sur la messagerie instantanée du boulot et on accède aux serveurs à distance, blablabla, blablabla.

Oui mais non.

Parce que tout ça arrive dans un contexte budgétaire difficile (quand ils nous ont annoncé ça par haut-parleurs - rien que ça - j’ai cru que la guerre venait d’éclater avec la Papouasie voisine). Du coup les décisions sont validées par le très grand chef.

Les voies du seigneur sont indiscutables et il a dit … non.

Faut pas non plus déconner non plus ! Je vois pas bien comment gérer une équipe à 900 kms de distance (enfin l’équipe se réduit comme une peau de chagrin car le troisième s’est barré pour de bon à Hong Kong). Ça tenait pas debout son affaire.

La pauvre doit donc démissionner. Toutes ces années de cirage de pompes dans le bureau du directeur, toutes ces brillantes interventions en réunion. Evaporées ! Ça me fait mal au coeur.

Connasse de voiture

C’est bien joli une voiture sans serrure mais quand la télécommande marche pas on fait comment pour ouvrir ?

Optometrist

J’ai pas (trop) voulu contrarier Max quand en septembre il s’est obstiné à prendre un boulot de réceptionniste.

Dès octobre j’ai su qu’il ferait pas de vieux os à l’hôtel.

En décembre sa démission semblait inéluctable.

En Mars c’était le coup de grâce : sur la plage Max décrétait que sa vie sans weekends n’avait plus de sens et qu’il lui fallait démissionner …

Amex aime dépenser, Lepénible aime épargner. Comme il y a un mois, quand on s’engueule c’est souvent pour l’argent ou ce qui tourne autour :

Max : j’ai trouvé une annonce comme assistant chez un ophtalmo ;
Greg : super !
Max : oui mais c’est à temps partiel ;
Greg : Oh, dommage !
Max : En fait, j’ai déjà postulé, on verra bien !
Greg : c’est tout vu, tu vas pas travailler à temps partiel. Hein ? Dis ? Tu vas pas travailler à temps partiel, hein ?

Deux jours plus tard :

Max : ça y est j’ai été pris !!!! Je quitte l’hôtel jeudi dans 2 semaines !
Greg : super …
Max : du coup on pourrait partir en weekend ?
Greg : mouais, le jeudi soir ?
Max : alors j’arrête le mercredi, ou plutôt le mardi ?
Greg : argggggggg !!!!!

Depuis 2 semaines c’est la belle vie : il travaille de 9 heures à 3 heures dans ce qu’on appelle pompeusement le centre ville de Canberra. Il s’occupe des tâches administratives et gère l’agenda du médecin.

Bon c’est vrai qu’en qualité de vie tout a changé, on déjeune ensemble, on a tous nos weekends et on peut planifier nos vacances.

Tout ça n’a pas de prix, hein ?

Arrêteur de crimes

Comme d’hab je suis sûr que le Chronicle (accessoirement le justicier de Canberra) fait toute une histoire pour un petit truc de rien du tout …

Bande de glandeurs

Bande de feignasses ! 5 jours de pont j’y crois pas.

Vous avez une idée du mal que vous faites au PIB ?(sans parler des misères infligées aux statisticiens de l’INSEE qui devront ajuster leurs calculs du mois de mai).

C’est honteux !

Triple anniversaire

Aujourd’hui Max a 39 ans et mon père 69. Pour fêter ça on va en boîte (sans mon père) écouter du R&B (pour moi ça se limite à écouter mais les autres vont danser j’imagine).

Le troisième anniversaire c’est notre présence ici depuis le 9 mai 2007. Après un an, voilà ce que je préfère en Australie :
Le soleil (ça sera dur de retour à Paris)
Les plages (fantastiques)
Les Australiens (et les Australiennes)
L’Anglais (enfin disons la langue qu’on parle ici)

Ce que j’aime pas :
Le Vegemite (si vous connaissez pas, tant mieux pour vous)
Le camp des rats (j’ai déjà pas mal approfondi le sujet, non ?)
Les carrefours (impossible d’expliquer ici mais à Canberra ils sont bien pénibles)
La bureaucratie (on pense toujours que c’est pire chez nous, mais non)
Les moutons (les Australiens râlent jamais, on s’emmerde !)

La photo c’est un pense-bête pour les 40 ans de Max dans un an …

Gag à l’APEC

En septembre dernier se tenait à Sydney l’Asia - Pacific Economic Cooperation Summit.

Pour une fois le monde montrait un éphémère semblant d’intérêt pour l’Australie (disons un léger haussement de sourcil).

Malgré un centre ville bouclé et 170 millions dépensés pour la sécurité, une bande d’allumés s’est infiltrée dans la zone interdite près du Saint des saints : l’hôtel où était Bush.

Pour réussir leur coup : des voitures (de location) aux allures officielles et aux couleurs canadiennes, de faux gardes du corps et … Ben Laden. Les conneries inscrites sur les faux badges ou sur les voitures n’ont pas alerté la sécurité.

La semaine dernière les blagueurs étaient innocentés par le tribunal. Ben oui : c’est la police elle-même qui les a invité dans la zone interdite (y a longtemps j’avais expérimenté ça au festival de Cannes avec mon ex-ex et sa traction avant délirante).

Fallait voir la tronche du chef de la police qui, lui, ne voyait pas ce qu’il y a de drôle. Ce con en rajoutait tellement que j’ai cru qu’il faisait partie du gag !

La mission des millionnaires

Les millionnaires ont une autre mission que dépenser en une journée ce que je gagne en un an. Ils aident aussi parfois les africains, enfin ils essaient.

Pourtant pas fan des Reality Show (le seul que j’ai vaguement regardé était le loft, ça date un peu), j’adore celui-là.

Le principe : 8 femmes/hommes d’affaires qui ont fait fortune dans des domaines divers partent 3 semaines aider un village africain. Contrairement aux Reality Show habituels, ceux-là ont payé 15000 livres pour participer. Le tout est encadré par une organisation caritative (et beaucoup de caméras bien sûr).

Leurs idées : construire un hôtel pour touristes souhaitant passer leurs vacances à apprendre l’anglais aux enfants (perdu au milieu de l’Ouganda …), construire un entrepôt à patates (pour les vendre plus tard sur le marché), mettre l’électricité dans la maternité (apparemment tous les villageois s’en foutent).

Forcément tout se passe mal. Principalement parce que les africains les prennent pour des vaches à lait et sont bien décidés à leur soutirer le maximum pour chaque coup de pioche … Evidement ça énerve nos missionnaires millionnaires venus les aider (je les comprends un peu).

En plus tout ce beau monde est habitué à diriger un petit empire. Alors prendre des décisions en commun c’est pas trop leur fort. Résultat attendu : ils s’engueulent …

A mort !!

Oui, oui, oui ! Moi aussi je dis qu’il faut augmenter le montant des amendes sur les places handicapés :




400 dollars c’est pas assez ! 4000 dollars non plus. Faut des peines de prison fermes et déporter les familles dans des camps de rééducation au code de la route. Parait que certains ont même le culot d’écrire pour plaider l’indulgence, on croit rêver !

Trop de laissez aller dans ce pays.

Ji-ti-ai Faure

Plus le temps de mettre à jour le blog depuis que j’ai acheté Grand Theft Auto 4. Je suis accroc.

Le jeu était en pré vente depuis des mois mais Greg Lepénible refusait de payer 120 dollars. « if you find it cheaper, we’ll match it » qu’ils disaient le jour de la sortie, le 29 avril. Justement oui, je l’ai acheté 84 dollars le matin même. 30% de rabais en quelques heures, pas mal. La pré vente c’est de l’arnaque !

Pour ceux qui connaissent pas c’est le jeu attendu de l’année. D’abord parce qu’il fait débat (violent, immoral, bla bla bla). Heureusement ici nous sommes épargnés grâce à une version censurée (soit disant qu’il y a pas de classification sur les jeux vidéos permettant la vente aux plus de 15 ans seulement)! M’en fout, même censuré ça reste bien trash.

La série des GTA est aussi un incroyable succès commercial. Les ventes devraient atteindre les 400 millions de dollars. Ça aurait même un impact sur les entrées de cinéma …

J’ai joué à Vice City et San Andreas, les deux versions précédentes, mais celle-là dépasse mes attentes. Les critiques sont excellentes. Plus de réalisme dans les graphismes mais aussi dans le jeu lui-même (même si la machine peut pas prévoir toutes les conneries qui passent par la tête tourmentée des joueurs).

Le plus invraisemblable pour moi reste encore de sortir avec une fille … Pour le moment ça reste sage, on s’est simplement fait un bisou après le resto (enfin le fast food, faut pas déconner non plus).