Il conclue mollement « nous ferions bien de nous rappeler que nos expériences diffèrent et que notre conception de ce qui est naturel varie d’une personne à l’autre ». Si c’est pour écrire ça autant rien dire.
Une collègue et amie à qui je disais être choqué que le journal publie des propos ouvertement homophobes m’a répondu qu’en Australie on croyait en la liberté d’expression …
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